Nous quittons cet oasis de fraîcheur ...
Nous traversons une zone où nous sommes sur un plateau
avec des montagnes et surplombons un autre niveau avec vallée et sommets
La Vallée de la Coachella est en partie une zone de culture
de palmiers-dattiers sur des km et des km. En arrière, le lac Salton
Où nous serons seuls ...
Le même, de jour
Le sable est particulier
Le lac est si salé (et pollué par des produits phytosanitaires) qu'il s'y forme des concrétions
Le lac n'est pas baignable
La ville Palm Springs nous évoque Las Vegas,
avec des brumisateurs sur les terrasses des cafés, ses hauts palmiers,
ses voitures de luxe.
Mais pas de casino!
Un peu plus au nord, une réserve d'une tribu native,
Agua Caliente Indian Tribe Reserve, abrite des canyons dont l'un nous a enchanté
l'aridité est très importante, la chaleur à nouveau intense,
pourtant il y a de l'eau qui sourd de cette montagne
On sait désormais d'où est venue l'inspiration pour le couvre-chef des gardiens de sa gracieus majesté...
Il y fait une température délicieuse.
On voit ce que des pluies abondantes peuvent causer comme dégâts, quand l'eau ne pénètre pas dans le sol
Que lui arrive- t-il? Une chute? Un malaise dû à la chaleur, une soudaine envie de sieste.
(on ne sait jamais avec Gérald 😉)
Une section de tronc de palmier
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